Bénédicte REVERCHON

France

Après sa participation à l’exposition collective “Découvrir-Confirmer” dédiée à la découverte de jeunes artistes vivant et travaillant dans la région Rhône-Alpes Bénédicte REVERCHON avait réalisé et présenté en exposition monographique, “Les lumières de la ville” où elle avait associé pour la première fois un travail de photographie et de dessin. Le succès de cette production a été confirmé lors des présentations à Arles, Clermont-Ferrand et plus récemment à Quimper. Elle est depuis représentée par la galerie Vrais Rêves.



  MONOnoAWARE

du 06/11/2021 au 24/12/2021


Il y a trois ans Bénédicte REVERCHON a tenté sa chance et a postulé pour une résidence de plusieurs mois dans l'Antartique aux îles KERGUELEN. Elle avait proposé d'aller y photographier l'invisible, l'éphémère, le fragile etc...
Hélas, hélas... elle était déçue, on peut comprendre. Passé une semaine de déception aigüe elle a réagit et décidé de réaliser le travail prévu, ici, chez elle, dans son environnement personnel. C'était sa réaction, son caractère qui s'exprimait.. Une recherche sur les îles, leurs formes, leurs caractéristiques principales et la voilà en chantier, en préparation de sa future exposition. Nous étions heureux en novembre et décembre de présenter le résultat de ce NON-VOYAGE et de sa création.


 R.Viallon le 24/12/2021

Le Dossier de Presse est ICI
 
 

 
  Images improbables / Orographies

du 13/01/2018 au 03/03/2018

 

Tout commence en 2011.
Les images présentées n’existaient pas et n’auraient d’ailleurs jamais dû exister. Mais voilà, un concours de circonstances, certains appelleront cela du hasard ou encore un accident de parcours, en a décidé autrement. Elles se sont formées, pour disparaître presque instantanément. Et pour tout dire je n’ai pas vu grand-chose, mais j’étais là. Tout s’est passé tellement vite. La prise des clichés a figé des images improbables, en tout cas imprévues.

Capture aveugle, matérialisation d’une image impossible.
Le temps et l’espace se sont pour ainsi dire comprimés. Dans le même temps, l’image s’est fragmentée, figeant dans ce temps fugitif différents instants. La photographie est devenue une concentration d’informations réorganisant des lieux, des êtres et du temps.
Ne pas être en réaction, laisser les choses se décanter, le temps qu’il faut pour réapparaître et se révéler, prémices à un dialogue.

Extrait du texte "Images improbables" de Bénédicte Reverchon

 
  "A travers les yeux d'une libellule"

du 22/03/2014 au 10/05/2014

Pour cette nouvelle exposition à la Galerie  Vrais Rêves, son choix d’un patrimoine canadien abandonné et délabré du Val Jalbert, n’est qu’un prétexte pour affirmer, comme Bachelard, que la maison est plus qu’une construction : c’est un vecteur de songe. Bénédicte montre la « forme » comme état provisoire qui défie le temps et l’espace.

 
  2009 - "La mue et le caméléon"

du 13/03/2010 au 15/05/2010

Préambule

Février 1992, une tournée avec un orchestre amateur en Roumanie est le point d'ancrage du travail construit ces 2 dernières années. Quelques images prises à Cluj-Napoca, juste pour garder quelques traces de cet après Ceausescu. Et puis une collection de disques vinyles de musique traditionnelle offerte par une famille de musiciens.
17 ans plus tard, de nombreux roumains ont occupé des usines et terrains désaffectés non loin de chez moi, dont celui dont sont tirées les images d'Après la pluie.


 
  2005 - "Les lumières de la ville"

du 19/01/2006 au 25/02/2006

Après une première participation à l'exposition collective "A découvrir, à confirmer" à la galerie, Bénédicte Reverchon a été invitée en 2006 à présenter la série "Les lumières de la ville". Elle réunissait pour la première fois dans une exposition personnelle ses deux modes de création et d'expression, la photographie et le dessin. La série "Les lumières de la ville" est le résultat d'une technique mixte de dessin sur photographie et chaque image est unique. Malgré l'apparence "Retour dans le Surrey" est strictement photographique et donc reproductible alors les "formes d'extension" et les "double pages" sont uniquement dessinées, donc uniques.


 
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