Luc EWEN

Luxembourg

 

Artiste plasticien Luc EWEN articule depuis de nombreuses années la majorité de ses créations à partir et autour de la photographie. Dans ses installations ses photographies assurent le lien à la notion même de réalité, de véracité, alors qu'il se sert d'elles pour pervertir, détourner la réalité. Le changement d'échelle, la mise en perspective avec d'autres imges, la technique particulière de prise de vue, l'absurde des situations,etc .. tout contribue à créer un doute dans l'esprit du regardeur. Vous retrouverez ci-dessous, dans ses créations, cet esprit potache, suréaliste.
Photographe Luc Ewen l'est probablement malgré ses écarts volontaires vis à vis de la réalité, mais artiste il est c'est certain.....

 

    



  Luc EWEN

du 10/09/2021 au 30/10/2021

 
  LOST MEMORIES

du 11/01/2014 au 15/03/2014

La cire, c'est la petite madeleine de Luc Ewen,  photographe à la recherche du temps perdu.

Contrairement à la madeleine la cire n'est pas soluble dans l'eau, ce qui ne l'empêche pas d'agir sur le pouvoir de la mémoire instinctive, de prendre appui sur le présent pour remonter le cours du temps.
Et voici donc Luc Ewen - né au Luxembourg en 1959 – en prise avec une amnésie élémentaire, incapable de donner date et sens aux nombreuses images de ses archives personnelles. « A ma grande surprise, j'ai pu découvrir des images dont je n'ai gardé aucune mémoire et d'autres que je croyais bien connaître mais dont la signification profonde se dérobait sans cesse ».
==> Suite ci-dessous.
 

 
  De nymphis, sylphis, pygmaeis et salamandribus / Tortuga 5

du 05/05/2007 au 24/06/2007

Toutes ces photographies ont été réalisées avec un objet très particulier, la « Tortuga 5 ».
Cet appareil de prise de vue, inventé et diffusé par Luc Ewen , est de type « sténopé » avec non  pas un seul mais avec cinq trous. L’image, qui est de très grande qualité photographique, est  aussi très étonnante. A première vue l’image semble être de nature panoramique. Cependant  seul le rapport des dimensions peut donner ce change. En effet l’image étant le résultat de cinq  point de vue différent et non d’un seul l’oeil glisse de gauche à droite sur l’image, et passe donc d’un point de vue photographique à un autre, avec facilité grâce à des zones intermédiaires qui se comportent comme des fondus enchainés bien connus en vidéoprojection. Or ces fondus enchaînés sont permanents et visibles à chaque instant car ils sont partie intégrante de l’image, et cela contribue à créer cette étrangeté, cet onirisme latent, voire cette poétique hélas trop souvent absente de la photographie, aujourd’hui.

 
  L'homme de Blar

du 05/03/1999 au 24/04/1999

Cette exposition "L'Homme de BLAR" a été réalisée conjointement par Luc EWEN et son collègue, et compatriote, Jean-Luc KOENIG. 

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"L'homme de Blar" a été découvert en 1928 par l'anthropologue lyonnais Jean-Pierre Duchally. Recherchant une présence, depuis plus de 7 ans, dans la Région des Hautes Plaines d'Ecosse, le célèbre anthropologue, de tout temps discrédité par la communauté scientifique tant française qu'étrangère, a finalement mis à jour les vestiges d'un type de paléanthropien. Cet homme aurait vécu aux alentours de l'âge de pierre et il s'intercalerait entre l'homme de Néanderthal et l'Homo Sapiens. Mort en 1979 le docteur Duchally a légué à la science une mine de travaux d'études anthropologiques qui, grâce au Musée des Hommes, et maintenant à la galerie Vrais Rêves, est désormais accessible au public.

 
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