Michel LAGARDE - DRAMAGRAPHIES

Michel  Lagarde est un artiste, décorateur, scénographe, dessinateur et comédien  qui s’est  par la suite improvisé photographe. C’est en  enrichissant ses dessins par la photo qu’il en arrive à la photographie. Loin d’abandonner le dessin,  certaines de ses photos  se présentent comme des tableaux qu’il modifie grâce à l’utilisation d’un pinceau Photoshop.
Le rendu des images est aléatoire et c’est sûrement ça qui fait leur charme. A la croisée entre narration, cinéma,  théâtre et photographie les « Dramagraphies » tissent un lien entre différentes formes d’art et appellent à l’interdisciplinarité.
« Viens voir le(s) comédien(s)... »



 
Technique
Photographie avec collage sur Photoshop
Texte
CV-Resume
www.michellagarde.com
DRAMAGRAPHIES
60x80 en caisse américaine

Mots-clé associés
noir.et.blanc, paysage, numérique, temporalité, autoportrait, baroque, dérision, fantastique, fiction, humain, humour, imaginaire, mise.en.scène, photo-montage, représentation, voyage, onirique






 

Michel  Lagarde est un artiste, décorateur, scénographe, dessinateur et comédien  qui s’est  par la suite improvisé photographe. C’est en  enrichissant ses dessins par la photo qu’il en arrive à la photographie. Loin d’abandonner le dessin,  certaines de ses photos  se présentent comme des tableaux qu’il modifie grâce à Photoshop.
Le rendu des images est aléatoire et c’est sûrement ça qui fait leur charme. A la croisée entre narration, cinéma,  théâtre et photographie les « Dramagraphies » tissent un lien entre différentes formes d’art et appellent à l’interdisciplinarité.
« Viens voir le(s) comédien(s)... »

Dossier de Presse est   I C I



Michel  LAGARDE est un artiste, décorateur, scénographe, dessinateur et comédien  qui s’est  par la suite improvisé photographe. C’est en  enrichissant ses dessins par la photo qu’il en arrive à la photographie. Loin d’abandonner le dessin,  certaines de ses photos  se présentent comme des tableaux qu’il modifie grâce à l’utilisation d’un pinceau Photoshop.
Il s’agit d’un artiste polymorphe puisqu’il s’inspire à la fois des polars, des bandes dessinées, des gravures du XIXème siècle et de la peinture flamande. C’est dans cette perspective qu’il met en scène une réinterprétation du tableau « L’escamoteur » de Bosch : « Parler de mon travail est un exercice difficile pour moi, disons que ce projet est né du fait que j'ai pratiqué différentes formes artistiques et que j'avais envie de les réunir. Le théâtre comme acteur et décorateur, la peinture, la photographie et un plaisir à raconter des "histoires". Recomposer des images où toutes ces formes d'art seraient présentes, mais avant tout présenter un instantané d'images intérieures accumulées depuis l'enfance ».  
A travers ses  « Dramagraphies » Michel LAGARDE ne recherche aucunement à reproduire la réalité, bien au contraire il vise à « recréer une réalité » autre. Son univers est profondément marqué par le théâtre puisque ses autoportraits sont des mises en scène à part entière dont il est à la fois le réalisateur mais aussi les multiples personnages. Loin d’être autobiographiques ses scénettes apparaissent comme des compositions uniques et autonomes faites à partir de maquettes,  d’objets singuliers, de costumes, et de décors divers et farfelus. Lorsqu’on lui demande si c’est lui-même qu’il met en scène il répond : « -Ce n’est pas vraiment moi que je mets en scène dans les Dramagraphies, ce sont plutôt les rôles que j’interprète comme acteur(…) certes les images ‘’sortent’’ de ma tête mais je ne raconte pas ma vie, je m’amuse à l’interpréter sans me soucier de mon image physique, j’aurais plutôt tendance à la déformer. J’aime la caricature car elle oblige au parti pris. »
Son œuvre reflète donc un souci d’interprétation, de distanciation et de mise en scène du réel qu’il transfigure. Il travaille essentiellement grâce au photomontage numérique. Concernant la prise d’images, il utilise  un appareil sur pied, qu’il met en marche grâce au déclencheur et qui lui permet de multiplier les prises de vue. Le temps de prise de vue est incertain et invite souvent à l’improvisation. Le rendu des images est aléatoire et c’est sûrement ça qui fait leur charme. A la croisée entre narration, cinéma,  théâtre et photographie les « Dramagraphies » tissent un lien entre différentes formes d’art et appellent à l’interdisciplinarité.
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Rebecca Coopman – 2019

 

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